Vin et imaginaire
Vin et imaginaire
La perception du vin fait beaucoup appel à l’imaginaire. Les sensations qu’il apporte avec ses éthers sont par nature extrêmement fugaces. Il en est de même pour l’enfant pour qui a de nombreuses sensations. Son imaginaire n’est pas encore bridé par les contraintes de la vie.
Dans le présent , on a simplement affaire à l’attitude perplexe d’un enfant de 3 ans analysant le fonctionnement d’un simple sécateur de vendangeur. L’enfant c’est Aurélia la fille de l’artiste. Elle est tellement concentrée que le monde qui l’entoure prend subrepticement les couleurs de ses vêtements. La vigne devient bleu vert comme son pull. Elle perd sa structure en tournant à l’abstraction. La terre se colore rose orangé comme son pantalon. Tout cela est très munchéen.
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